Devenir Végétarien ? Pourquoi ?
Végétarisme ? Pourquoi ?
"Le jour viendra où les hommes jugeront le meurtre d'un animal comme ils jugent maintenant le meurtre d'un être humain".
Leonardo da Vinci
Les Français, par exemple, sont devenus les plus grands consommateurs de viande en Europe, avec une moyenne de 112 kg par an et par habitant.
La tendance actuelle fait toujours la part belle à l'alimentation carnée en dépit de recherches de plus en plus poussées, conduites depuis plusieurs années, qui nous montrent ces habitudes alimentaires sous un jour pas très engageant. Le prestigieux "Journal of the American Medical Association" affirmait déjà en 1961: "On pourrait prévenir 90% à 97% des maladies du coeur grâce à une diète végétarienne".
Quels sont les autres avantages d'une alimentation végétale par rapport à une alimentation carnée ? Une partie des réponses se trouvent sur cette page : Végétarisme, Pourquoi ?
Mais la santé est certes la toute première bonne raison de choisir une alimentation végétarienne. Voir : Manger de la viande rend malade !
Le mal initial qui pervertit corps et cerveau réside dans cette
aberration qu’est l’alimentation carnée. Il apparaîtra quelque
jour à l’homme réveillé de son cauchemar combien diabolique fut
cet écart incompréhensible, perpétuant ainsi les malédictions
(de santé) qui l’accablent ... "
Nous reparlerons de la santé plus en détails ...
Passons pour l'instant à la séquence choc :
En voyant un morceau de viande bien fraîche et joliment emballée, nous ne percevons plus la souffrance qui se cache derrière ce steak. Notre responsabilité est poussée tellement loin dans les méandres de la production de ce morceau de viande, que nous avons le sentiment de ne plus être responsables de la mort et de la souffrance de cet animal. Comme disait Plutarque: "Si vous pensez que votre corps est fait pour se nourrir naturellement de viande, alors tuez d'abord vous-même l'animal que vous voulez manger."
Alors comment passe t-on de ceci :
à cela :
La réponse en vidéo EN CLIQUANT SUR PLAY CI DESSOUS.
> Ames sensibles s'abstenir !!
Je vous invite aussi à ne pas manquer ce
tout nouveau film :
Je cite le Docteur O.Z.A Hanish (1930) :
" ... Quiconque (ayant gardé un minimum de sentiment) après
une visite aux abattoirs, perd l'appétit de la viande pour six mois au
moins --- d'aucuns pour jamais ! Il est bien étrange d'entendre des
gens qui parlent d'humanitarisme, et qui se vantent d'être membres de
sociétés pour la protection des animaux, et qui malgré tout
encouragent à tuer des animaux, simplement pour satisfaire un
appétit pervers, un désir anormal de chair ... Beaucoup se cherchent
une excuse dans ce vieux cliché surfait qui nous fait appartenir "au
groupe carnivore du règne animal" --- nos dents sont censées le
prouver, etc ... D'aucuns pensent que nous avons une dentition de chien !
Est-ce parce que le voleur a "une tendance à voler" qu'il est excusable
devant la loi ? Et même si l'homme avait été créé carnivore, n'a-t-il
aucun moyen de s'en émanciper lorsqu'il devient plus intelligent ? ...
Nous n'avons le droit de tuer aucun être ! Ni homme, ni bête.
Le règne animal est simplement la continuation (l'état évolué) du
règne végétal ... Le végétal, à son tour, tire sa subsistance du règne
minéral, dont il est la continuation. Le fait que certains animaux
vivent de proie n'est pas une raison pour nous de les manger à leur tour !
N'est-il pas vrai que plus on consomme de boeufs, plus on en élève ?
Certaines personnes pensent que si nous ne mangions pas les animaux,
nous en serions débordés ... Ces personnes n'ont pas l'air de comprendre
que l'accroissement des stocks de bétail est obtenu par des moyens
forcés !!! Abandonnez le bétail à lui-même, et au bout de peu d'années
vous n'en verrez plus guère ! Les espèces prospéreront beaucoup
moins qu'avec les soins de l'homme !
Rien ne peut justifier la consommation de la viande ! Aussi loin que
vous cherchiez pour rassurer votre conscience inquiète. Votre conviction
vous dira que l'usage en est injuste. Ni Dieu, ni prophète, ni homme ne
vous justifiera d'enfreindre les lois de la nature, laquelle désire faire
tout prospérer pour le bien de tous ... "
ou bien encore CLIQUEZ ICI !
Le problème de l'eau :
Aux Etats Unis, plus de la moitié de l'eau consommée est utilisée pour la production de bétail ! Or, l'eau devient une ressource de plus en plus rare dans de nombreux endroits du monde. Sa consommation trop importante par les humains endommage les rivières et les écosystèmes, et mène à la salinité et la désertification.
Un régime végétarien consomme considérablement moins d'eau qu'un régime basé sur la viande. La production de viande nécessite 60 fois plus d'eau que celle d'une même quantité de céréales (et bien que les céréales contiennent moins de protéines, pour obtenir la même quantité de protéine, l'agriculture réclame 13 fois moins de ressources que l'élevage). Un régime carné consomme environ 4000 litres d'eau par jour tandis qu'un régime végétarien en consomme 1500.
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Le Docteur O.Z.A Hanish,
disait au sujet de la viande (en 1930 !!!) :
"... Avez-vous jamais pensé à ce que vous mangez lorsque vous
êtes assis devant une table garnie ? Si oui, il est alors étrange que
vous persistiez à faire de votre corps une caisse à ordures.
Nombre d'hommes de science, chimistes ou médecins, tiennent la
viande, par exemple, pour un des aliments les plus importants.
Cela est bien étrange, si l'on pousse l'analyse de la viande
un peu à fond !? Mais assurément, ils ne pensent pas ce qu'ils
disent !
On nous dit que la viande sert à former les tissus du corps et
donne de l'énergie, et que sans l'usage de la viande nous
n'aurions pas la force d'accomplir un travail corporel, pas même
de supporter la vie. Chaque fois qu'un commerçant se propose
d'ouvrir un grand magasin de charcuterie, il emploie quelque
soi-disant savant pour analyser le contenu chimique d'un porc
et préconise ensuite au public la valeur de la charcuterie et la
nécessité de s'en nourrir. Un autre possède des boeufs et a aussi
son « bon savant » pour recommander l'usage du boeuf braisé.
Les industriels de la pêcher affirment que manger du poisson
développe le cerveau. Considéré les millions de tonnes de poisson
qui se consomment par an, quels hommes intélligeants devrions
nous être à cette heure ci !! Et voyez donc quels hommes
cérébraux tous ces pêcheurs !
La baleine, avalant une quantité énorme de poisson, doit avoir
une bien grande cervelle ; il serait peut-être bon pour ceux qui
désirent avoir un cerveau plus massif d'avaler encore la baleine !
Vous êtes-vous jamais demandé d'où la vache tire sa force pour
produire du lait ? Peut-être qu'en nourrissant vos vaches de
côtelettes de porc vous obtiendrez un lait plus riche ? Pour obtenir
un lait riche, le fermier sage donne à ses vaches un bon foin et un peu
de son chaque jour. (...)
(...) L'éléphant n'est pas un animal très élégant, mais il est vigoureux et
puissant. Il vit d'herbes et d'autres végétaux. D'un coup de reins il
délivre un wagon embourbé, là où vingt chevaux n'y suffiraient pas.
Toutefois, quand nous en venons à l'homme, on nous dit qu'il doit
manger de la viande pour acquérir de la force ... S'il est possible au
à la vache, à l'éléphant et à nombre d'autres animaux de tirer leurs
forces du règne végétal, pourquoi l'homme ne serait-il pas capable
d'en faire autant ?
II est vraiment curieux que vous aimiez à faire de votre estomac
un cimetière d'animaux. Une pièce de cadavre dans l'estomac, et
l'on parle avec horreur des Polynésiens qui mangent des cadavres
d'hommes ! Si vous avez jamais visité une morgue d'animaux, un
marché aux viandes, vous n'aurez pas manqué de noter l'odeur
nauséabonde de mort et de pourriture qui s'en dégage, à moins que
votre odorat ne soit terriblement insensible.
La viande qui a une bonne touche de pourriture est dite « faisandée ».
On la considère comme une chose très raffinée et délicate et on ne
craint pas de la payer fort cher. Pour donner à la viande le goût de
gibier, on l'enterre pendant quelques jours, puis on l'apprête avec
force épices. Ce n'est que dans les restaurants et hôtels de première
classe qu'on vous sert ce mets délicat ! Songez-y ; ce que nos ancêtres
auraient jeté avec dégoût dans la caisse à ordures, on nous le sert
comme une friandise ! Certains chiens n'en voudraient pas,
cependant, certains autres chiens mangeront tout ce qui se
présente en fait de viandes.
Ainsi, vous devez vous considérer comme une caisse à ordures
raffinée dans laquelle sont jetés des cadavres, pourris de plusieurs
jours, et pour ce privilège vous vous laissez taxer d'un prix
exorbitant. Vous étonnez-vous d'être malades et de répandre
des odeurs pour le moins déplaisantes ? Etes-vous si ignorants des
processus naturels d'évolution et d'involution, de fermentation
et de désintégration ? Ne savez-vous pas (ne comprenez-vous pas)
que les intelligences composant les tissus carnés d'un animal
collectivement organisé, ralenties par la décomposition des
tissus vivants, doivent, en pénétrant dans vos propres tissus,
se réveiller à l'activité ? Ne savez-vous pas que ces activités sont
directement opposées à vos buts de vie et vous conduisent,
directement ou indirectement, à votre destruction ?
Comprenez-vous alors, pourquoi vous êtes en proie aux
suggestions d'instincts inférieurs, qui vous rendent incapables
de vous concentrer ?
Ces instincts vous enchaînent aux plus abjectes conditions
d'existence, tant qu'à la fin, ayant perdu tout sentiment de justice,
vous cessiez de vivre comme un être noble et sublime et n'existiez
plus que comme un phénomène de bestialité se réfléchissant à
travers la forme humaine.
Pouvez-vous deviner maintenant, comment Satan s'est introduit
parmi les hommes et pourquoi un tel enfer continue à exister ?
Vous vivez au milieu de conditions créées par le mensonge, conditions
que vous êtes trop myope, trop inconsidéré pour déterminer.
Vous persisterez à végéter de cette existence misérable jusqu'à
ce qu'un jour le sens de la justice se réveille en votre âme, pour
racheter graduellement la dette que vous avez contractée envers la
création et ses créatures.
La raison qui fait regarder la viande comme une nourriture,
c'est la proportion de matières azotées qu'elle contient. Or
il existe un grand nombre d'albuminoïdes différentes, qui chacune
ont un effet physiologique différent. Le chimiste ne peut que déterminer
le genre et la proportion des albuminoïdes contenues dans un corps,
mais pour connaître l'effet dû à leur digestion par l'organisme humain,
il faut s'en référer à une expérimentation rigoureuse.
Les albuminoïdes de la viande ont une tout autre action que celles
des céréales. Celles des légumineuses et des champignons, des oeufs
ou du lait donnent encore de bien autres résultats. Qui ne sait rien de
ces effets divers n'a pas mot à dire dans la question alimentaire. Le savoir
vient de l'expérience, qui est le plus sûr des maîtres.
Dans divers pays, en France entre autres, on nourrissait autrefois
les criminels de bas étage exclusivement de viande. La ration
quotidienne du criminel était un morceau de veau et une mesure
de vin. Les premiers jours, il se portait très bien, voire
somptueusement, mais après quatre ou cinq jours, il
commençait à dépérir, et au bout de trente jours au plus,
l'ange l'emportait dans le sein d'Abraham.
En d'autres pays, on nourrissait les prisonniers d'agneau et de vin ;
et il faut avoir un tempérament joliment solide pour supporter ce
régime pendant vingt-huit jours. Dans bien des cas, le malheureux crie
grâce, et le Maître du ciel et de la terre rappelle le pauvre méchant
enfant dans les régions supérieures, où il n'y a plus ni agneau ni vin
pour troubler son paisible sommeil.
Bien des bergers (et cow-boys) vous diront qu'on ne peut pas vivre
exclusivement de viande.
Ce serait une excellente chose pour nos prétendus savants diététiciens
que d'expérimenter eux mêmes la chose durant les prochains trente
jours. Mais, évidemment, ils n'expérimenteront que sur des chats,
des rats, des chiens et des cobayes, comme d'habitude, et sur quelques
pauvres incurables d'hôpitaux. S'ils voulaient bien expérimenter sur
eux-mêmes, afin de pouvoir parler par expérience, nous les
dispenserions d'un témoignage verbal, les résultats étant assez
clairs et nets.
L'usage du vin ou des spiritueux hâtera encore la mort d'un
mangeur de viande. Personne ne peut vivre exclusivement de
viande. On apprend fréquemment de tristes nouvelles des régions
du Far-West : Il advient que, les provisions venant à manquer, les
bergers sont obligés de vivre de viande jusqu'à ce qu'ils atteignent
une contrée où ils puissent se procurer de la farine et autres aliments.
En très peu de jours ils tombent malades et l'avance du troupeau
devient forcément très lente. S'ils sont assaillis par une tourmente de
neige ils ne peuvent plus se réchauffer, car la consommation exclusive
de viande ne procure pas la chaleur corporelle nécessaire pour supporter
de basses températures.
Il est vrai que la viande réchauffe pendant un court laps de temps,
mais, comme l'alcool, elle n'est qu'un stimulant, et le corps, appauvri
en vitalité, subit ensuite une rechute. Il advint de même à un jeune
berger, plein de santé et de vigueur, de tomber gravement malade
après quatre jours de régime carné exclusif. Ses provisions étant à
bout, il fut forcé de se nourrir de mouton. Il aurait péri s'il n'avait reçu
du secours en farine et autres aliments. Aussitôt qu'il reçut du pain et
autres choses nourrissantes, il se mit graduellement à revivre et, après
quelques jours de soins, il était entièrement remis. Un cow-boy n'a
pas peur des fusils ni des combats avec homme ni bête, mais il craint
par-dessus tout d'être obligé de vivre de viande exclusivement pendant
un certain temps. Il peut ne rien savoir de la composition de la viande,
n'avoir étudié ni la chimie, ni la physiologie ni l'anatomie, mais il vous
dira par expérience que c'est tenter une aventure très risquée
qu'essayer de vivre uniquement de viande.
Un boucher qui connaît son affaire se garde bien de manger du
veau. Il vous dira qu'il sait par expérience que le veau est tout à
fait impropre à la nourriture ; que cela donne des crampes aux
enfants qui en mangent et prédispose à la danse de St-Guy et autres
tics et spasmes. Certains prêchent contre l'usage du porc, mais
emploient du saindoux dans la préparation de leurs mets, et sont
très étonnés quand on leur apprend que le saindoux est de la graisse
de cochon.
Même, bien des produits annoncés comme huile de coco, de lin ou
de coton raffinée sont le plus souvent frelatés, pour autant qu'il est
possible de clarifier la graisse animale et de lui donner l'apparence
d'huile végétale. Nous devons avoir l'oeil ouvert et garder une
continuelle présence d'esprit pour être capables de discerner ces
falsifications. Ces industriels vont si loin qu'ils garantissent leurs
produits parfaitement purs et véritables. Ils sont purs, en effet,
la première fois qu'ils paraissent sur le marché, mais ils cessent
de l'être une fois que le commerce marche.
La viande ne peut qu'augmenter les dépôts de matières
en décomposition et obstruer les canaux viscéraux et avec cela,
amener des désordres des voies urinaires et autres complications
organiques. La médecine officielle admet que la viande est un
stimulant à cause de son influence spéciale sur le sang : elle
fait activer le mouvement du coeur et échauffe l'organisme rapidement ;
mais l'effet suivant est d'affamer, parce qu'elle appauvrit le sang en
l'intoxiquant.
Tant qu'il y aura des mangeurs de viande, aussi longtemps séviront
l'alcoolisme et la tabagie. L'usage de la viande requiert une compensation
par divers excitants tels que café, thé, liqueurs, tabac et autres toxiques
et si à part la viande on ne prenait pas d'autre nourriture, la lutte pour
l'existence toucherait vite à sa fin. Le mouvement antialcoolique ne
prendra pas de réelle valeur tant qu'il ne combattra pas l'usage de
la viande, des excitants et des drogues chimiques. (...) "
Et Maintenant, en guise de conclusion de notre propos,
revenons en l'an 2007 et visionnons une dernière petite
vidéo illustrative :
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... qui, lorsqu'il sera grand, aura sans
doute UN APPETIT FEROCE !